Identité ?
Nicolas PENZ, originaire de la Vallée du Rhône septentrionale (Valence) sur le millésime 76 (façon tolérable de dire 40 ans), passionné de vin et de gastronomie au point d’aujourd’hui choisir d’en faire mon métier.
Premier souvenir lié au vin ?
A 9 ou 10 ans, lors de repas de famille chez les grands parents, avec un fond de verre (TRÈS) dilué, sans doute un Crozes-Hermitage, un Saint-Amour ou un Chateauneuf-du-Pape.
Plus grands souvenirs de dégustation ?
Une après midi passée à goûter sur cuve toute la gamme de Julien Pilon. Une gamme d’une cohérence et d’une qualité étonnante, et un très joli moment d’échange avec un vigneron ouvert et humble.
Les émotions procurées par le Gewurztraminer FURSTENTUM Grand Cru Vendanges tardives 2009 d’Albert Mann et l’Hermitage 1996 de Jean Louis Chave.
Dernier verre de vin ?
Au moment ou j’écris ces lignes, c’était Les Iles Féray 2015, un IGP Vin des Pays de L’Ardèche de Pierre Gonon. Un vin racé au fruit éclatant, avec une belle rusticité et qui en montrerait à bien des Saint-Joseph.
Et s’il ne devait en rester qu’un ?
Un rouge du Rhône, un Cornas du domaine du tunnel de Stéphane Robert, relecture moderne et brillante de l’ADN de Cornas.